VIE DU SYNDICAT

VIE DU SYNDICAT

    LA VIE DU SYNDICAT

 

La FIN DU

Syndicat National des auteurs d'inventions indépendants

 

 

                             Ce qui devait arriver, et que nous pouvions craindre est arrivé, le SNAII est arrivé à son terme, et la dissolution a été décidée au congrès du 10 octobre 2018.

 

Ms opinions personnelles, ne portaient pas vers cette centrale, mais j’ai accepté de suivre ce projet avec la CGT.

 

Même, si j’ai mes opinions, il ne faut rejeter près de 150 ans de luttes sociales, et l’obtention d’acquis, qui ont amélioré le sort de la classe ouvrière.
Certains des détracteurs de la CGT n’ont pas été les derniers à bénéficier de ces acquis, et seraient les premiers à se plaindre, s’ils devaient les perdre.

 

Mais pour d’autres, la CGT fournit un excellent prétexte pour ne pas vouloir soutenir une évolution des droits des inventeurs indépendants et modestes.

 

Mon adhésion à la CGT m’a par ailleurs attiré, quelques inimitiés, ou de la simple incompréhension.

 

 

Cette dissolution, ce n’est pas la fin, sur ce blog, je suis le propriétaire et l’administrateur, sans ce syndicat j’ai l’intention de continuer à créer.

 

N’étant plus dans ce syndicat, je n’ai plus lieu de m’intéressé au concours Lépine, et à son président qui semblait être indisposé par un syndicat, qui souhaitait apporter quelques améliorations pour les inventeurs modestes et indépendants avec la création d’un système de brevet différent.

 

C’est inutile de perdre du temps avec cette organisation, mais néanmoins, il me semble pertinent de défendre la fin du lien de subordination qui lie un inventeur à son employeur.

 


Ce syndicat m’a permis de retirer, quelques enseignements.

 

Ce brevet reste une difficulté incontournable, je vais toute de même continuer, la fréquentation des salons professionnels, des entreprises, et les contacts avec les politiques, qu’ils soient élus ou ministres, le but n’est pas de faire de la politique, mais de pouvoir poursuivre cette idée, la soumettre aux personnes qui pourraient le mettre en œuvre.

 

Dans notre pays, nous avons des sources d’innovations, de créations, et d’inventions quasi inépuisables, mais suivant le principe, que tout travail mérite salaire.

 

En absence de brevet, il reste la propriété intellectuelle, qui n’aura pas la force de protection d’un brevet, et encore un brevet ne protège pas réellement des copies et contre façons.

 

Et nous avons le risque de voir arriver la fin du délais de 20 ans avant de pouvoir bénéficier des protections attachées à un brevet, qui tombera dans le domaine public, et ne pourra plus procurer de bénéfices à l’inventeur.

 

 

Nous avons l’exemple parmi tant d’autres de monsieur CARONI présente en 1921 Vingt ans après la première édition du concours LEPINE.
Le tout premier fer à repasser fonctionnant à la vapeur et équipé d’un thermostat. Une machine étonnante qui lui permit d’être primé par le concours LEPINE.

 

Une innovation qui s’est depuis invitée dans beaucoup de foyers.
L’idée était de permettre de repasser le linge plus facilement.
Le problème, si elle est primée au concours, l’invention était jugée trop dangereuse par les industriels.

 

Il faudra attendre une vingtaine d’années pour que les premiers modèles soient commercialisés.
Au moment où le fer à vapeur commence à être mis en vente,
Son brevet était tombé dans le domaine public, et il n’a touché aucune royalties sur son invention.

 

 

 

Mais ce délais de 20 ans pendant lequel, il faudra payer des annuités pour rester propriétaire de sa création, est long pour un petit inventeur, mais assez courte pour grand établissement financier, ou une industrie.

 

 

Au fils des années, nous ne pouvons que déplorer, une dérive qui conduit a une situation de monopole, et confisque le droit des inventeurs au profit de groupes influents et puissants.

 

Parallèlement, en matière d’édition musicale, nous pouvons constater, que les auteurs de certaine forme de musique, qui prônent la haine et la violence peuvent percevoir des royalties pour leurs créations.

 

Je me garderai de désigner ces formes de créations.

 

 

J’ai quelques créations à promouvoir, bien évidemment, je dois prendre le risque de perdre mes droits à la première divulgation ou présentation, les respect de la propriété intellectuelle reste un peu aléatoire.

 

 

Mais même avec un Brevet d’invention, il faut des sommes importantes , et du temps, ce qui devient économiquement irréaliste de se lancer dans des procédures judiciaires, qui en réalité ne sont accessibles, qu’à des grandes entreprise ou des états.

 

 

Sans oublier la limite de 20 ans, qui peut être rapidement atteinte avant de pouvoir valoriser le fruit de ses créations, des grands groupes ont bien compris, que pour s’emparer d’une invention protégée par un brevet, il est possible d’attendre, que ce brevet soit tombé dans le domaine public, et l’inventeur n’aura aucun droit.

 


Je travaille sur plusieurs systèmes pour protéger les lieux publics contre la malveillance, les problèmes de la sécurités sont présents au quotidien.

 

 

Les malfaiteurs, voire même lorsqu’ils sont terroristes, ne manquent pas d’imagination, pour nuire.

 

Un autre système pour recharger, des ULM, ou avions légers électrique au sol.

 

 

 

Je pense pouvoir mener ces projets, sans en être dépossédé, ce qui commence par ne pas divulguer les descriptions

.

 

Les pouvoirs politiques, et industriels négligent et méprises toute cette multitude d’inventeurs, et ce potentiel de création.

 

La richesse d’un pays pourrait déjà commencer par le respect de tous ces inventeurs indépendants et modestes.

 

 

Lorsqu’il est question de la fuite des cerveaux, il est question de ces gens, plus ou moins jeunes, qui après des longues études pour partie à la charge des contribuables, qui font valoir des niveaux d’étude et peut-être des compétences.


Mais pour ces inventeurs, qui n’ont peut-être pas suivi un long cursus universitaire, eux, ils pourront sous la forme de créations, exporter leurs compétences, les créativité et leur intelligence.

 

 

Ces créations, c’est le risque, qui en dépossédés, au profit d’intérêts étrangers, mais en restant en France, nous sommes à peu près certains de ne rien avoir autant tenter de faire valoir nos compétences avoir d’autres nations.

 

 

Nos pouvoir politiques, les établissement financiers et industriels, n’ont pas voulu entendre un syndicats, même modeste, cette créativité et ce potentiel pourraient être perdus pour notre pays.

 

 

Entre être sur de ne rien avoir de ne rien avoir dans notre propre pays, et espérer avoir une juste rémunération de notre intelligence et notre créativité le choix est fait.

 

 

Ce syndicat le SNAII était soutenu par la CGT, qui semble avoir une mauvaise réputation, mais c’était la seule organisation, qui a bien voulu soutenir ce projet.

 

 

Mais le SNAII ne travaillait pas dans la logique revendicative des syndicats défendant des intérêts sociaux dans les entreprises, et autres revendications de politiques sociales.

 

 

Il n’a été créé que pour les intérêts des inventeurs indépendants.

 

 

Mais, il vrai, qu’il heurtait quelques sensibilités et suscitait peut-être des craintes.

 

Mais le modèle restait très proche du principe existant pour le droit d’auteur, principe, qui pouvait aussi contrarier, quelques intérêts industriels.

 

 

 

 

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