VIE DU SYNDICAT

VIE DU SYNDICAT

CONGRES SNAII-CGT 2016

Le 20 octobre 2016  CONGRES SNAII-CGT

 

Il se tiendra au siège de la CGT   263 rue de PARIS   93514  MONTREUIL SOUS BOIS

 

INVITATION CONGRES 

 

AFFICHE 

 

COMPTE RENDU CONGRES

 

Les premiers enseignements pour l'avenir.

 

Ce congrès reste modeste, mais fructueux, il est évident, que la relation avec la C.G.T, peut être de nature à susciter quelques crispations, ou être simplement un simple prétexte pour ne pas se soucier du problème des inventeurs indépendants.

 

J'entends aussi quelques détracteurs, mais qui ne renoncent pas à profiter des avancées obtenues par des luttes sociales.

 

Mais, nous ne n'allons pas nous décourager pour quelques réticences, ce projet peut être viable.

 

Mais dans l'absolu, ces inventeurs n'ont pas grand chose à perdre, ils ont peut-être la faiblesse de souhaiter, que ces quelques inventions puissent rester en FRANCE, et ne pas faire faire le choix de les proposer ailleurs.

 

Il existe aussi la possibilité de créer une mise en relation entre ces quelques inventeurs, et des entreprises, ( françaises de préférence), qui souhaitent soutenir quelques ambitions, et innover.

Cette mise en relation n'exclue pas les entreprises étrangères.

 

Un autre réflexion apparaît, à savoir, si un brevet est réellement indispensable, si un auteur d'invention est titulaire de la propriété intellectuelle.

 

Des inventions  brevetées sont aussi largement copiées, malgré le financement et l'investissement pour obtenir un brevet, après.

Il faut aussi déterminer, s'il est réaliste d'engager des actions judiciaires longues et coûteuses avec un résultat aléatoire. 

 

 

Etre titulaire de la propriété intellectuelle laisse la possibilité de commercialiser sans brevet, qui ne présente qu'une protection relative pour les motifs, que j'ai indiqué , mais il faut aussi noter, que la publicité d'une invention rend cette invention non brevetable, empêchant ainsi de pouvoir s'emparer d'un brevet de façon illégitime.

 

Pour une entreprise, ça évite de perdre du temps et des frais excessifs, surtout si une invention peut être contrefaite malgré un brevet.

 

A mesure de nos prises contacts et de nos réunions, nous constatons, que les questions restent toujours posées, et les réponses apportent toujours des nouvelles questions.

 

Après, nos dirigeants politiques devraient peut-être s'inquiéter des inventions innovations, compétences et savoir faire, qui disparaissent.

 

Certaines grandes entreprises, ou leurs "faux nez" publient des brevets, qui ne sont pas spécialement des idées, ou innovations révolutionnaires, mais servent surtout à créer des statistiques.

 

Et de nombreuses inventions sont aussi le fruits de la créations de salariés, qui sont pris dans un lien de subordination, qui ne leur permet pas d'être propriétaires de leurs inventions.

 

Beaucoup d'inventeurs indépendants sont retraités, mais connaissant , le niveau moyens des retraites, ces retraités n'ont pas la capacité financières de financer un brevet d'invention.

Mais au moins, ils n'ont plus de supérieurs hiérarchiques pour leur voler leur créations.

 

Certains de ces ex-supérieurs hiérarchiques devenus retraités eux, s'ils peuvent  avoir la capacité financière nécessaire , ils n'ont plus sous leur pouvoir les subordonnés, qu'ils pouvaient spolier.

 

 

Pour ce qui est des concours LEPINE et son  organisation, qui se permet de faire expulser un syndicaliste, ce qui représentait un excès de pouvoir des agents de sécurité.

 

Suite à cet événement fâcheux démontrant surtout, que la création d'un organisation syndicale dérange ce petit monde.

 

A l'occasion  d'une réunion de bureau,  après cet événement, la décision a été de simplement de ne pas perdre de temps avec cette affaire, et mépriser ceux, qui n'apprécient pas la présence d'un syndicat

 Et bien évidement de s'abstenir de visiter ce concours.

 

Pour ce qui est de la FOIRE DE PARIS abritant ce concours, elle ne reste, qu'une simple foire, qui attire le chaland, et les pratiques commerciales discutables.

 

Pour les inventions futures, je n'exclu pas de prendre contact avec des entreprises étrangères.

 

Après tout, si les entreprises françaises ne veulent pas d'inventeurs modestes, ou peut-être tenter d'éviter de les rémunérer équitablement, après, il sera difficile de reprocher à un inventeur de délaisser la FRANCE, pour ses créations.

 

Les responsables, restent et resteront, ces pouvoirs publiques et politiques, qui ne sont pas capables de prendre conscience des ces richesses, qui disparaissent.

 

Ils s'imagent dans leurs tours d'ivoire de l'irréalité aseptisées, que seuls ceux, qui ont suivi un cursus de longues études dans des grandes écoles financées par l'état. sont capables de créer et inventer.


Les financements de ces études proviennent de l'impôt, payés par des contribuables, qui n'ont pas nécessairement  suivi de longues études, pour être contribuables et payer.



20/05/2019
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